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travail génial sur les textes de CGU des plateformes réseaux sociaux, dont les longueurs sont dignes des rouleaux de parchemins du moyen-âge. Dénonciation par la simple impression et exposition de ces CGU dans leur intégralité.
sujet fin du ticket de caisse, ici, article qui vient direct de l'élysée, qui promeut bien sûr la fin du ticket papier, encourage les commerçants à se constituer un beau fichier clients grâce aux mails récoltés, mais attention,n dans le respect du rgpd parce que hélas, il y a une loi ...
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La loi en question : anti-gaspillage, c'est l'article 49 qui nous intéresse
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000041553814 -
risques de fraudes évoqués par UFC Que Choisir dans cet article
https://www.moneyvox.fr/actu/87206/les-effets-pervers-de-la-fin-du-ticket-de-caisse
La CNIL vient de publier un livre blanc consacré au thème des assistants vocaux. Le journaliste de NextINpact livre ici une lecture détaillée des recommandations de l'instance française à l'égard de cette technologie de popularité croissante. La CNIL met en garde sur les temps et les modalités d'écoute que le locuteur doit connaître et paramétrer le plus possible selon ses choix. La CNIL nous rappelle que la voix est une donnée personnelle à part entière et même biométrique, car elle traduit une foule d'informations sur la personne de manière unique.
Terminé le bouclier qui permettaient soi-disant légalement aux GAFAM et autres entreprises américaines de récupérer les données personnelles de leurs utilisateurs européens. Les RGPD vont pouvoir enfin être respectées et effectives avec cette décision de justice de la Cour Européenne. Un camouflet pour la Commission de la protection des données basée à Dublin, qui couvre ces pratiques délictueuses et qui se trouve être au même endroit que le siège d'Apple...
Beaucoup de professionnels s'accordent à le dire, l'application du gouvernement Stop-Covid représente un danger pour les données personnelles. Mediapart rapporte ici les paroles d'un membre de l'INRIA, d'un avocat, de la CNIL, d'un spécialiste en cryptographie, d'un mathématicien, d'un hackeur, de Cédric O... Un tour d'horizon, avec contradictoire, qui éclaire sur un sujet d'intérêt général.
Un article qui démontre que la majorité des entreprises ne respectent pas ou peu le cadre RGPD et attendent que les sanctions annoncées soient effectives pour rentrer dans le rang? D'ici là, les cookies vont bon train et les conditions d'utilisation censées être aisément paramétrables par le visiteur demeurent opaques et intrusives. Voici un baromètre, pour ceux qui ne comprennent que les chiffres.
Comment les acteurs du numériques comptent encadrer la sous-traitance sur son traitement des données personnelles, à la lumière des RGPD. Une ébauche de cadre juridique se dessine mais beaucoup de lignes restent encore floues, sujettes à l'interprétation des acteurs impliqués.
Doctolib VS RGPD. La licorne française de la santé est pointée du doigt par cette enquête France Info. La base de données colossale engrangée par le site de prise de rdv médicaux pourrait être monnayée si ces données étaient rendues anonymes. Le saviez-vous ? Doctolib sous-traite le stockage de ces données ô combien sensibles à des entreprises extérieures, dans lesquelles on retrouve...Amazone. Le secret médical, code partagé par tout médecin, serait mis en péril avec cet outil qu'ils ne maîtrisent pas, et qui pourrait éventer le secret, pour un joli tas d'or.
Le point commun entre le CERN et l'auteur de best-sellers Stephen King ? Ils ont annoncé cette semaine qu'ils quittaient le réseau social de Mark Zukerberg. Le CERN quitte plus précisément lse service Workplace de Facebook, dont les modalités ont changé en ce début d'année, obligeant les clients à payer pour garder la main sur leurs données. Les rats quittent le navire...
La Californie, number one sur l'innovation et cancre absolu des droits numériques, se met à la page en adoptant une règlementation stricte sur la protection et gouvernance des données utilisateurs. Elle va même plus loin que l'Europe, qui demande timidement à l'internaute s'il accepte ou non la politiques de confidentialité du site. Là, l'internaute peut dire clairement qu'il refuse la vente de ses données personnelles. On finit toujours pas se faire doubler...