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base de données pour musiques d'ambiance, de films, d'enrobages.
Pas terrible au niveau de la qualité, la classification semble douteuse (on peut écouter du surf qui n'a rien à voir avec du surf) et les morceaux sont quand même de la soupe. Musique d'ambiance pour vidéastes amateurs ou pros.
Rapport de plusieurs entités européennes qui demande l'instauration d'un guichet unique des financements et subventions du libre et des communs numériques. En outre, cela induit une plus grande imprégnation du libre et des communs dans les administrations publiques. Le rapport sous--entend qu'une telle démarche va dans la préservation de la souveraineté numérique européenne.
« Le passage à Linux représente un peu la transition ultime et surtout pas la première étape », précise Nicolas Vivant, responsable du développement informatique et numérique à la ville d’Echirolles (Isère) où il a supervisé la transition vers des solutions libres. Le risque ? Braquer les agents face à un changement d’habitudes trop brutal. « Convaincre une collectivité de passer à des outils open-source par idéologie est voué à l’échec. Personne ne choisit Microsoft par idéologie. C’est l’usage qui importe. Il faut d’abord que ces logiciels soient efficaces, qu’ils améliorent les services utilisés par les agents », précise-t-il.
" Les citoyens doivent avoir accès à un espace public qui repose sur des infrastructures numériques publiques auto-gouvernées par les internautes eux-mêmes et non par des acteurs privés. Wikipédia est un exemple paradigmatique de cette vision : les utilisateurs participent au projet en contribuant à l'encyclopédie, ils votent si nécessaire, prennent des responsabilités et améliorent un service d'intérêt général qui peut être librement réutilisé par tous. "
Les héros de l'Internet libre et documenté dans le pétrin après avoir oeuvrés pour le bien publique pendant le confinement. Ils sont poursuivis par des maisons d'édition furieuses de la diffusion en libre accès opérée par le célèbre site d'archives du web. Question de la propriété intellectuelle, droits d'auteurs et rôle des bibliothécaires dans de telles circonstances, se posent et se poseront devant la justice américaine.
Le patron-créateur de VLC, logiciel libre français le plus utilisé au monde, l'affirme : "pas de tracking, pas d'espionnage, on ne sait pas ce que vous regardez et ça ne nous intéresse pas !". Voilà un discours rafraîchissant en ces temps orwelliens. Très bonne interview menée par Sylvain Jambaud sur rfI.