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« Le passage à Linux représente un peu la transition ultime et surtout pas la première étape », précise Nicolas Vivant, responsable du développement informatique et numérique à la ville d’Echirolles (Isère) où il a supervisé la transition vers des solutions libres. Le risque ? Braquer les agents face à un changement d’habitudes trop brutal. « Convaincre une collectivité de passer à des outils open-source par idéologie est voué à l’échec. Personne ne choisit Microsoft par idéologie. C’est l’usage qui importe. Il faut d’abord que ces logiciels soient efficaces, qu’ils améliorent les services utilisés par les agents », précise-t-il.