Mamie attend le volet 6 du jeu et compte bien le plier avant de mourir !

« Le passage à Linux représente un peu la transition ultime et surtout pas la première étape », précise Nicolas Vivant, responsable du développement informatique et numérique à la ville d’Echirolles (Isère) où il a supervisé la transition vers des solutions libres. Le risque ? Braquer les agents face à un changement d’habitudes trop brutal. « Convaincre une collectivité de passer à des outils open-source par idéologie est voué à l’échec. Personne ne choisit Microsoft par idéologie. C’est l’usage qui importe. Il faut d’abord que ces logiciels soient efficaces, qu’ils améliorent les services utilisés par les agents », précise-t-il.

listing des idées en faveur et contre surtout le vote en ligne :

trop peu fiable au final pour tenir des élections sérieuses. pas assez de contrôle pour s'assurer qu'il n'y ait pas de rachat d'identifiants pour voter à la place de, acheter un vote en somme. On ne peut savoir si quelqu'un exerce une pression ou influence ou menace carrément sur autrui au moment de cliquer sur le bulletin électronique... Le code doit être ouvert, possibilité pour les puissances étrangères d'intérférer et de hacker les élections pour les faire advenir en la faveur de leur candidat stratégique. Bref, trop de complications qui peuvent dévoyer la fiabilité d'un vote qui, quand il se tient dans un bureau avec des accesseurs, est très facile à contrôler pour ce qui est du respect des règles élementaires : un dans l'isoloir, urne transparente offerte à tous les regards, ouverture du lieu à tous, check des papiers de chacun.

Initiation aux jeux vidéos en maison de retraite : pas d'autre but ici que de divertir les personnes âgées, leur apprendre à jouer, tout simplement, assumant que c'est une activité comme une autre. L'asso Silver Geek s'en charge (courbevoie). Une mamie de 100 fait des strikes avec la Wii, et ses camarades l'ovationnent.
Super projet. À exporter ?

" Les citoyens doivent avoir accès à un espace public qui repose sur des infrastructures numériques publiques auto-gouvernées par les internautes eux-mêmes et non par des acteurs privés. Wikipédia est un exemple paradigmatique de cette vision : les utilisateurs participent au projet en contribuant à l'encyclopédie, ils votent si nécessaire, prennent des responsabilités et améliorent un service d'intérêt général qui peut être librement réutilisé par tous. "

sujet fin du ticket de caisse, ici, article qui vient direct de l'élysée, qui promeut bien sûr la fin du ticket papier, encourage les commerçants à se constituer un beau fichier clients grâce aux mails récoltés, mais attention,n dans le respect du rgpd parce que hélas, il y a une loi ...

• La loi en question : anti-gaspillage, c'est l'article 49 qui nous intéresse
  https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000041553814

• risques de fraudes évoqués par UFC Que Choisir dans cet article
  https://www.moneyvox.fr/actu/87206/les-effets-pervers-de-la-fin-du-ticket-de-caisse

Les problématiques écologiques se heurtent aux problématiques économiques. On voudrait préserver des terres et des sols qui sont annexés par la révolution numérique, avide d'entrepôts aux dimensions pharaoniques. Mais ces terres sont aussi appauvries par le chômage, et l'implantation des géants du web constitue la promesse d'un emploi pour des centaines de personnes. Dilemme cornélien, dans lequel les plus offrants sont en train de remporter la partie.
Or, les promesses d'embauches locales ne sont pas toujours tenues, souligne l'enquête des journalistes. Suite à des irrégularités comme prises illégales d'intérêt ou cession de terres non conformes, il a été établi un quotas d'hectares de terres à artificialiser sur toute une décennie. La ratio tend à se diminuer par rapport aux décennies précédentes. La députée Batho déplore une "amazonisation de la France" . En ville, autre débat mais probléme toujours : l'installation d'entrepôts dits "friches urbaines" prennent potentiellement la place de logements dont les villes ont cruellement besoin.

On le sait aujourd'hui, la réponse est non. Promesse certainement démagogique, pour séduire la France des start-ups. Sauf que, le pays n'est pas prêt et ne possède pas les pré-requis à la mise en place d'un tel bouleversement électoral.
L'identité numérique notamment, doit être totalement généralisée et opérationnelle. France Connect a pourtant été mise en place récemment. Peut-être faut-il plus de temps pour que chacun soit rompu à l'interface et que le temps écoulé ait permis de développer la confiance chez les citoyens en ce système de substitution numérique de l'administration.

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